26 août 2010

Seigneur, si je n'arrive pas à tuer Goliath, m'aimeras-tu quand même?

Si, comme Pierre, j'ai peur des vagues et que j'enfonce; m'aimeras-tu quand même?

Si je m'égare du Chemin étroit souvent mais que j'y revienne tout de même; m'aimeras-tu toujours?

Si, portant ma croix, celle-ci glisse de mon épaule 7 fois par jour, mais qu'après avoir pleuré, je la remets à nouveau sur cette épaule; m'aimeras-tu toujours?

Si ma vie entière n'était qu'une longue suite de chutes, de relèvements et de rechutes; m'aimeras-tu quand même?

Lorsque j'aurai reçu les derniers coups, et que tout mon courage sera comme un vase brisé; m'aimeras-tu toujours?

Quand j'aurai déçu toute mon église; devenu ignoble à mes propres enfants; perdu mes plus vieux amis, et jeté par ma dernière amie; Toi, m'aimeras-tu encore?

Quand, pour échapper aux pierres qu'on me lance sans cesse; je choisi de fuir en me traînant dans un endroit désert pour trouver du repos, m'aimerais-tu encore?

Et si je préférais même la mort à la vie pour être seul avec toi pour trouver la paix; m'aimeras-tu encore?

« Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses? ...
Qui accusera les élus de Dieu? C'est Dieu qui justifie!
Qui les condamnera? Christ intercède lui-même pour nous!
Qui nous séparera de l'amour de Christ?

Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par CELUI QUI NOUS A AIMÉS.

Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur ni la profondeur, ni aucune autre créature (aucun autre chrétien) ne pourra nous séparer DE L'AMOUR DE DIEU manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. » (Ro.8)