La communion des saints

Parler aux défunts dans le cadre d'une séance de sorcellerie est tout à fait défendu dans les Écritures. Mais dans le cadre de la communion fraternelle; nous avons le droit de demander leur intercession (s'ils étaient des croyants de leur vivant; évidemment.)

Quand Jésus était sur le Thabor, l'Écriture dit qu'il s'est entretenu avec Moïse et Élie, qui était physiquement mort depuis longtemps, mais leur esprit était toujours bien vivant! Ceux qui meurent dans le Seigneur ne sont pas morts; au contraire, ils sont passés de la mort à la vie! La communion des saints dont parle l'église catholique est très biblique.

La communion fraternelle ne s'étend pas seulement aux croyants de notre église, mais elle s'étend à tous les croyants du monde et même à ceux qui sont morts dans le Seigneur. L'Écriture dit : « JE SUIS LE DIEU D'ABRAHAM, LE DIEU D'ISAAC, ET LE DIEU DE JACOB? (Ex.3:6) Dieu n'est pas Dieu des morts, mais des vivants. » (Mat. 22:38) Et l'Évangile selon Luc précise : « car pour lui tous sont vivants. » (Lc. 20:36)

La foi protestante dit aussi que « les morts ne peuvent rien faire pour nous. » S'il s'agit de non-croyants, cela est vrai, mais s'il s'agit de vrais croyants et qu'ils étaient près du Seigneur lorsqu'ils vivaient sur la terre, c'est tout à fait différent.

Dans le livre des Rois je crois, on raconte l'histoire d'un homme très malade qui trébuchât et roulât dans le tombeau d'Élisée qui était tout près. Il est écrit que cet homme touchât les ossements du prophète et il fut immédiatement guérit!


Les saints croyants qui ont marchés sur la terre, marchent maintenant dans le Ciel; ils n'ont jamais cessé de vivre; ils sont seulement allés vivre ailleurs!

Je te dis tout ça, mais je ne veux pas influencer tes croyances. Certaines croyances, nous pouvons les partager avec d'autres mais certaines autres croyances sont personnelles.

C'est pourquoi l'apôtre Paul a écrit : « Cette foi que tu as (qui diffère de certains autres croyants), garde-là pour toi-même. Pense à ne rien faire qui soit une occasion de scandale pour eux. Chacun de nous doit complaire au prochain, en vue de l'édification. » Amen

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