Les belles sirènes

6 août 2010

La vie est plus cruelle que la mort. Nos besoins humains nous subjuguent jusqu'à la folie... Les heureux font preuve d'une inconscience absolument exceptionnelle; ou d'une chance tout à fait temporaire. Le bonheur se compte ici en minutes et non en années.

Tantôt; tout le monde s'intéresse à nous; tantôt; plus personne ne le fait. Nous passons près d'eux comme invisibles; nous ne sommes plus d'intérêt... Où est la vérité? Et le chemin de Dieu? Sûrement pas dans les mains d'un humain! Les hommes et les femmes sont menteurs par nature.

L'espoir est un poison lent...

L'espérance en Dieu est la seule vraie.

Difficile de bâtir une petite maison de cartes... il y en a toujours une qui tombe... Construire une maison de cartes est folie.

Les vraies maisons s'édifient à coup de sacrifices d'amour volontaires; de pardons; d'oublis de soi; et de redoublement du resserrement des liens au temps des doutes et de l'épreuve.

Toujours déçu et ravagé; je ne m'arrête jamais de croire au bonheur... cette horreur déguisée que l'homme a appelé l'amour.

Comme un cheval fou qui continu à courir jusqu'à détruire définitivement sa santé...

Quelle est cette folie qui nous pousse tous vers la falaise? Et qui, plus nous en approchons; plus elle nous attire?

Cette folie tue des hommes et des femmes par millions chaque année dans le monde; c'est un fléaux pire que la guerre que cet espoir d'être vraiment aimé...

« TU AIMERAS LE SEIGNEUR TON DIEU DE TOUT TON COEUR; DE TOUTE TON ÂME; DE TOUTE TA FORCE ET DE TOUT TON ESPRIT. »

TOUT LE RESTE EST INCERTAIN.

« La beauté est vaine et la grâce est trompeuse; la femme qui craint l'Éternel; est celle qui sera louée. » Amen

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